« The Promises Of Monsters » propose un ensemble d’artefacts, d’ondes sonores, électromagnétiques, de pulsars et de réminiscences de vécu virtuel qui témoignent d’un monde en dehors de tous les mondes : « Otherworldy ». Un monde persistant qui met en lien un poème du XIVe siècle, « La Divine Comédie » de Dante Alighieri et les « réalités virtuelles ». Une scénographie narrative, qui, à partir d’une fiction spéculative nous plonge en 3789 sur l’ asteroid Beatrix (83), première exploitation minière d’astéroid Luxembourgeoise, pour tenter de retrouver la trace de Méta-Wanderer disparus (Explorateur de réseau). Un véritable cabinet de curiosité à l’interface de deux mondes, entre réel et virtuel, qui cherchent à communiquer. Comme des espaces intriqués. Que nous promettent ces nouveaux paradigmes technologiques ? Pour reprendre Hugo Gernsback : « Extravagant Fiction Today – Cold Fact Tomorrow » (Fiction extravagante aujourd’hui, réalité brutale de demain)
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Réalisée avec la collaboration de Frederick Thompson sur une performance et une fiction sonore de Fonclair